
Laura Felpin Origine Parents – Laura Felpin est une Alsacienne d’origine qui a grandi à Kingersheim. Après avoir obtenu son baccalauréat, elle s’inscrit à la faculté des arts du spectacle de Strasbourg pour poursuivre son intérêt pour la peinture.
Deux ans plus tard, la jeune femme s’installe à Paris, où elle étudie dans une école de doublage avant d’entamer ses études de comédienne au prestigieux studio international Blanche Salant et Paul Weaver. Au cours de ses cinq années d’études, Laura Felpin a jeté les bases de ses personnages.
L’acteur a acquis une notoriété grâce à sa participation à des communautés en ligne en publiant des parodies et des sketches sur des sites comme Instagram et YouTube. Il n’est donc pas surprenant que Laura et son amie Anna Apter aient utilisé Snapchat pour créer et diffuser leur vidéo d’entrée au concours No Gynophopie, créé par Lisa Azuelos, directrice et présidente de l’association No Gynophobia pour lutter contre les violences faites aux femmes.
A la rentrée 2019, Laura Felpin rejoint Alison Wheeler et Pablo Mira dans The Morning Show (The Daily) sur TMC. En septembre 2020, elle donnera au Quotidien un bulletin météo quelque peu inhabituel.
accuse certains de ses lecteurs d’être de mauvaises personnes : racistes, c’est-à-dire.
Il s’agit souvent d’un simple saut du Web au tube. La star du web Laura Felpin est aujourd’hui l’une des chroniqueuses de l’émission Quotidien de TMC ; les vendredis de l’émission, elle assume le personnage d’un personnage ou d’une fonction d’information différente.
Une pastille qui, comme elle l’a expliqué à nos confrères de Télé Star, “offre une plus grande fenêtre d’exposition”. Elle compte actuellement environ 85 000 abonnés actifs sur Instagram.
L’artiste alsacien ne trouve cependant pas l’humour dans toutes les situations. Notamment en ce qui concerne sa genèse. Lundi soir, elle a posté un message sur Instagram disant : « Vous êtes nombreux à m’envoyer des photos d’Asiatiques pour me dire : “AHAHAH ça te ressemble” pour s’assurer qu’elle était sur la même longueur d’onde que certains de ses followers.
Il est inhabituel de trouver quelqu’un qui ressemble exactement à quelqu’un d’autre. Dire “MDR [mort du rire, ndlr], c’est une fille asiatique comme toi” est juste incroyablement insensible. De plus, je ne trouve pas drôle ou gratifiant de supposer que tous les membres de la communauté asiatique, qu’ils s’identifient eux-mêmes comme asiatiques ou non, soient homogènes. Simplement dit, c’est raciste. VRAIMENT. Ainsi, abstenez-vous. Baiser.”
C’est moi : un quarteron
Une explosion qui a amené d’autres lecteurs à l’informer en privé qu’ils avaient négligé son héritage asiatique. Je ne suis pas entièrement humain, car mon père n’est qu’à moitié humain. Mais cela montre à quel point certaines personnes sont racistes. Elle lève la tête vers l’appareil photo en expliquant :
Ça veut dire que s’ils voient une once d’Asiatique en moi ou voient que j’ai un peu l’air d’une Asiatique, ils m’envoient toutes les photographies d’Asiatiques dans le globe.” Reconnaître. .. Même si je serai cent pour cent Vietnamien, je ne ressemblerai pas au Vietnamien moyen. L’étoile de R’ Laura Felpin, originaire d’Alsace, a été élevée grâce à votre gratitude.
A Paris, elle fréquente une école de doublage puis l’Atelier de Blanche Salant et Paul Weaver, où elle étudie pendant cinq ans au total. Après cela, elle s’est fait un nom en ligne en collaborant avec son amie Anna Apter sur une chaîne YouTube pleine de sketchs comiques. Elle a également une suite importante sur Instagram, où elle publie des parodies plus courtes, grâce à sa production prolifique sur YouTube.
Le succès à la Comédie de Paris n’est pas nouveau pour l’ancienne journaliste du “Quotidien” Laura Felpin.
La première série télévisée de l’actrice de 31 ans sortira avec beaucoup d’impatience. Délicieux cortège de personnalités, « a passe » cartonne déjà. effectivement mérité.
Suivez les conseils de vos potes et faites place à Laura Felpin dès maintenant.
Il se passe définitivement quelque chose avec ce comique de 31 ans. L’ancien journaliste du “Quotidien” se produit depuis le 3 février à guichets fermés dans l’espace de 150 places de la Comédie de Paris (9e). Il y a eu une extension des dates disponibles en avril, mais celles-ci se sont vendues rapidement.
Une mode qui se propage depuis la salle à manger. Une foule enthousiaste et rieuse qui a ovationné les artistes à la fin du spectacle. Le titre de son premier spectacle, “a passe”, est un undau mieux. En fait, ça fait mal. Après un prélude délectable dont on ne vous dévoilera pas la révélation, on la retrouve “coincée comme un pruneau” dans une robe marquise, qu’elle délaisse promptement au profit d’une noire plus pratique.
Le cabanon s’est débarrassé de sa peau et le spectacle a commencé. Sa marque de fabrique, affinée au fil des ans dans ses vidéos virales sur les réseaux sociaux : une capacité remarquable à habiter un large éventail de personnages.
Une nouvelle vie au dessin.
Le formulaire peut avoir une ambiance rétro. L’actrice, aidée à l’occasion de son co-auteur Cédric Salaün, renoue avec les “sketchs à l’ancienne”, un genre de comédie tombé en désuétude en France depuis l’essor du stand-up. Risque-t-on une approche impersonnelle ?
Dans un climax époustouflant centré sur son ascendance italienne et vietnamienne, le comique distille habilement et modestement des aspects personnels clarifiant son propre destin entre deux personnages.

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